Friday, 21 August 2015

10 Raisons pour lesquelles «Kabila» doit partir

 
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10 Raisons pour lesquelles «Kabila» doit partir :
 
Déclaration politique de l’Alliance des Patriotes pour la Refondation du Congo  (APARECO)
 
(publié le 09 juin 2011)
 
A l’occasion du sixième anniversaire de l’Alliance des Patriotes pour la Refondation du Congo (APARECO en sigle) ce 4  juin 2011, nous les patriotes et résistants congolais réunis au sein de l’APARECO tenons à réaffirmer l’un des principaux fondements du combat que nous poursuivons inlassablement pour la libération totale de la République Démocratique du Congo, notre pays.
 
En effet, au moment où toute la nation congolaise poursuit inexorablement sa descente aux enfers sous le joug de l’occupation, et tandis que notre peuple, meurtri et humilié, n’a jamais autant espéré l’avènement d’un changement qui mettra fin au cauchemar du drame social qu’il vit au quotidien, force est de constater que la majorité des congolais, toutes classes sociales et toutes régions confondues, a aujourd’hui pris la mesure de la gravité de la situation et du danger qui menace toute la nation. Les Congolais ont en effet pris  conscience de l’échec patent de toutes les  recettes faussement «miraculeuses» qui leur ont été servies par des marchands d’illusions qui leur avaient promis la Paix et la démocratie, alors qu’en réalité, ils planifiaient plutôt leur avilissement et leur asservissement à travers un agenda caché de balkanisation de leur pays et du pillage systématique de leur sol et sous-sol.  
 
Du déclenchement de la prétendue guerre de libération en 1997, qui fut en réalité le début de l’invasion et de l’occupation, en passant par les Accords de Sun City qui se sont avérés être une véritable prime au crime et le début d’un noyautage sans précédent des institutions de la RDC, 5 ans après les élections biaisées de 2006, tous les faits prouvent aujourd’hui que ce long et pénible parcours de l’histoire de notre pays n’a fait que favoriser la matérialisation du plan secret d’un ignoble complot qui vise un seul objectif final: la mise à mort lente et douloureuse  de la République Démocratique du Congo en tant qu’Etat, et l’anéantissement du peuple congolais en tant que Nation.
 
 
Et en ce moment crucial où les mêmes forces occultes récidivent et tentent de berner à nouveau le peuple congolais en lui proposant les mêmes mascarades d’élections, mais dans des conditions et un environnement politiques encore plus médiocres qu’en 2006, l’APARECO tient à rappeler solennellement au peuple congolais et à la communauté internationale les 10 raisons fondamentales pour lesquelles «Joseph Kabila», qui constitue l’incarnation même de la menace qui pèse sur tout notre pays et notre peuple, DOIT IMPERATIVEMENT PARTIR afin que le peuple congolais puisse réellement se réapproprier le cours de son destin :
 
1.  Son imposture
  
Ø  «Joseph Kabila» (son vrai nom est Hyppolite Kanambe)  qui signe pourtant des documents officiels de son véritable nom comme l’APARECO l’a prouvé, a menti aux Congolais sur ses véritables origines rwandaises dans sa déclaration officielle d’identité : il a dissimulé l’identité de ses véritables parents biologiques d’origine rwandaise dont la mère vivrait encore  cachée quelque part dans un pays de l’Occident et que plusieurs congolais ont pu croisé en RDC à l’époque où son fils n’était pas encore chef de l’État.
 
Ø  Quatre versions lui donnent cinq lieux de naissance différents : 1) en janvier 2001 lors de la cérémonie de son investiture à la magistrature suprême, le procureur général de la République, Monsieur Luhonge Kabinda Ngoy, déclarait solennellement que «Joseph Kabila» est né  à «Hewa Bora II» (retenez que cette dénomination n’a jamais existé dans la nomenclature de l’administration de la RDC depuis l’époque coloniale), 2) en 2002, une dépêche de l’Agence France Presse, sans citer sa source, annonce que «Kabila» est né le 5 juin 1972 à Lulenge durant la rébellion de Laurent Désiré Kabila , 3) l’historien belge Erik Kennes, à la suite de ses enquêtes publiées dans son livre « Essai biographique sur Laurent Désiré Kabila», livre deux versions sur le lieu de naissance de « Joseph «Kabila» dont le premier à Yungu et le second à Mpiki, 4) l’ami et proche confident de «Joseph Kabila», Vital Kamerhe, situe sa naissance à Fizi….. ! 
 
Ø  Devant cette confusion, jamais « Joseph Kabila » n’a daigné éclairer la religion du peuple congolais, au contraire, il a arrogamment refusé jusqu’ici de pratiquer le test ADN réclamé par plusieurs Congolais, dans le but de mettre définitivement fin aux lourdes présomptions sur sa prétendue filiation avec ses faux parents biologiques congolais, dont notamment sa prétendue mère d’origine congolaise, Mme SIFA MAHANYA,  qui fait parti de son entourage proche. Le Président américain Barak Obama vient de donner un bel exemple de respect du peuple qui l’a élu : il a fait taire la polémique sur le lieu de sa naissance en demandant simplement au service d’état civil de l’Etat d’Hawaï de rendre public son acte de naissance!
 
Ø  « Joseph Kabila » au contraire, a supprimé ou éloigné systématiquement tous les témoins gênants susceptibles de confirmer ses vraies origines rwandaises ; il s’est acharné particulièrement sur les enfants et les membres de la famille biologique de Laurent Désiré Kabila qui contestent ses prétentions, et dont certains rescapés aux tentatives d’assassinat ont été contraints à l’exil.
 
Ø  Il est complice dans l’assassinat programmé de LD Kabila dont il a bâclé et brouillé l’enquête pour détourner la vérité ; il a pour cela manipulé le procès pour incriminer des innocents qu’il a fait condamner à mort et qui sont encore détenus en prison jusqu’à ce jour.
 
 
2.Son rôle capital dans le processus d’occupation de la RDC
 
Ø  « Joseph Kabila » a joué depuis le début de l’invasion (1996) jusqu’à présent un rôle de premier plan dans le processus d’occupation en cours d’une partie du territoire congolais (KIVU) : il a à cet effet conçu et appliqué le plan visant à chasser les autochtones congolais de leurs sols natals pour les remplacer par des populations étrangères en provenance essentiellement du Rwanda.
 
Ø   Il apporte depuis le début de l’invasion de la RDC en 1996 un soutien discret mais efficace aux différentes milices armées rwandaises  qui sèment la mort à l’Est de la RDC, et cela dans le but de favoriser l’invasion massive et programmée de la RDC par des populations étrangères.
 
Ø  Il accorde sa protection personnelle aux criminels de guerre proche de lui (cas flagrants de Nkundabatware et Ntanganda), alors qu’ils sont recherchés et réclamés par la justice internationale. « Joseph Kabila » conteste chaque fois, par la voix de son gouvernement, les résultats pertinents des enquêtes des ONG ou d’autres représentations de la communauté internationale qui révèlent  chaque année la recrudescence des crimes de guerre et crimes contre l’humanité commis en RDC par des troupes armées et des milices tant congolaises  qu’étrangères. Au lieu de dénoncer ces crimes odieux et sanctionner leurs auteurs pour protéger les populations congolaises victimes, «Joseph Kabila» dont la mauvaise foi est manifeste, préfère plutôt les banaliser et les minimiser, accusant même les auteurs de ces enquêtes de vouloir déstabiliser son pouvoir.
 
 
3.Sa stratégie de destruction de l’armée congolaise
 
Ø  «Joseph Kabila» a refusé, malgré plusieurs rappels de la communauté internationale et les moyens mis à sa disposition par elle, de créer une véritable armée congolaise pour défendre l’intégrité du territoire et protéger la population congolaise des exactions et des humiliations que lui font subir depuis plus d’une décennie des milices et des troupes armées en provenance de certains pays voisins de la RDC.
 
Ø   Il refuse délibérément  de rémunérer les militaires congolais dans le but de les maintenir dans la condition affligeante de mendicité, afin de les obliger, pour survivre de pratiquer la raquette sur les paisibles populations civiles congolaises
 
Ø  Il refuse mordicus d’armer et d’équiper les militaires congolais des FARDC (pour ce qu’il en reste) au profit des troupes étrangères opérant en RDC à sa solde.
 
Ø  Il a organisé à l’insu du Parlement, sous prétexte des fausses opérations militaires mixtes rwando-congolaises ou d’intégration des milices étrangères du CNDP, l’infiltration massive des militaires rwandais au sein des structures de  l’armée et de la police congolaises, et cela dans le but de favoriser et d’asseoir le processus d’occupation de la RDC qui a atteint sa phase finale.
 
Ø  Il a programmé et planifié plusieurs assassinats d’officiers généraux et supérieurs congolais formés dans les grandes académies militaires au monde, dans le but avéré de décapiter les FARDC de son élite militaire pour les remplacer par des officiers d’origines étrangères.
 
 
4.Le génocide de plus de 1 million des hutu rwandais en RDC
 
Ø  «Joseph Kabila» a participé, en tant qu’officier de l’Armée Patriotique Rwandaise (APR) aux côtés du Colonel James KABAREBE, aux  massacres   planifiés des réfugiés hutus rwandais des camps de Sake et de Mugunga dans le Kivu (RDC) en 1996.
 
Ø  Il a pris une part active, au sein de l’armée rwandaise, à la poursuite et aux massacres des centaines de milliers hutus rwandais à travers les forêts tropicales des régions orientales et équatoriales de la RDC durant les années 1996, 1997 et 1998.
 
 
5.     La mort de plus de 6 millions de Congolais
 
Ø  « Joseph Kabila » est complice et coresponsable des nombreux crimes organisés et planifiés à l’Est de la RDC par les forces armées d’occupation du Rwanda, du Burundi et de l’Ouganda. Ces crimes, selon les chiffres officiels des organismes humanitaires et internationaux, ont coûté la vie à plus de six millions de congolais
 
Ø  Il a savamment favorisé, par son soutien aux milices armées et aux  troupes étrangères d’occupation, l’instauration d’un climat d’insécurité à l’Est de la RDC, dans le but de provoquer des vastes mouvements d’exode forcé des congolais autochtones qu’on appelle les «déplacés», et dont la grande majorité de femmes et d’enfants est livrée à la mort lente et cruelle suite aux intempéries, à la faim, à l’insalubrité et au manque de soins de santé élémentaires. 
 
 
6.     L’assassinat des journalistes et des militants des droits de l’Homme
 
Ø  « Kabila » a systématiquement et sauvagement fait exécuter des dizaines de journalistes congolais, des prêtres, des évêques, des pasteurs et des militants des Droits de l’Homme qui ont osé braver le danger en dénonçant haut et fort son imposture, l’invasion et la balkanisation de la RDC ainsi que des crimes organisés à cette fin. Ces assassinats ont été   noyés ou étouffés grâce à  une parodie de justice orchestrés sous ses ordres. 
 
 
7.     Les viols massifs et planifiés des congolaises
 
Ø  «Joseph Kabila» est parmi les concepteurs du plan d’éradication systématique des populations congolaises autochtones des régions de l’Est de la RDC (Kivu), grâce à l’usage des diverses  méthodes criminelles dont notamment : 1)les assassinats massifs des populations (particulièrement des jeunes gens entre 19 et 30 ans et des adolescents), 2) les  viols collectifs et massifs des congolaises en détruisant expressément leurs organes génitaux ou en les infectant du virus du sida, 3) la spoliation des autochtones congolais de leurs terres et villages pour les forcer à errer dans les forêts sans abri et livrés aux intempéries et aux fauves, 4) les empoisonnements individuels et collectifs par des sources d’eau…., et tout cela  dans le but d’éradiquer les populations autochtones congolaises dans  le Kivu et de les remplacer par des populations rwandaises de plus en plus nombreuses et supérieures aux populations congolaises. L’objectif final étant de réclamer auprès de l’ONU le référendum pour l’autodétermination de la région du Kivu !
 
 
8.  Le pillage systématique du sol et du sous-sol de la RDC
 
Ø  « Kabila » poursuit et développe la politique de bradage des richesses du sol et du sous-sol de la RDC à travers des contrats léonins qui profitent à lui-même, à ses proches et aux lobbies financiers étrangers signataires de ces contrats.

Ø  Il applique la politique sociale de la paupérisation du peuple congolais, de son élite et de l’ensemble de sa classe moyenne (fonctionnaires, enseignants, ouvriers, commerçants, et agriculteurs…), dans le but avéré de les  contraindre à la mendicité afin de les rendre disponibles à la corruption et donc malléables à gré.
 
 
9.     La violation de la constitution  et la corruption des Institutions de la RDC
 
 
Ø  « Kabila » s’est rendu coupable de violation répétée des dispositions constitutionnelles en recourant chaque fois à la pratique de la corruption de  la majorité des opérateurs politiques congolais vassalisés.
 
Ø  Il manipule ainsi à son gré les institutions du pays (Parlement, Gouvernement et Justice) par la seule pratique de la corruption érigée en système de gouvernance, foulant ainsi au pied les principes et les valeurs fondamentales indispensables à l’existence  d’une démocratie effective et non simplement nominale.
 
 
10.  L’instauration  d’une dictature sauvage et sanglante en RDC
 
 
Ø  « Kabila » a totalement supprimé la liberté d’opinion et instauré la répression sanglante de toute opposition politique réelle et non inféodée à sa personne.
 
Ø  Il a instauré un régime de terreur grâce aux enlèvements, aux pratiques de torture et aux assassinats sauvages d’opposants politiques, de journalistes, de militants des droits de l’homme et des religieux….
 
Ø  Il a bâillonné tous les médias et toute la presse congolaise, et il est parvenu à  imposer la pensée unique en RDC par l’interdiction des médias libres, par des  menaces suivies d’enlèvement, par la pratique de torture, par des exécutions sommaires et sauvages des  «récalcitrants» devant servir de «leçon» aux autres audacieux congolais !
Pour toutes ces raisons évoquées ci-dessus, au vu de tous ces faits avérés, l’APARECO dénonce et condamne avec la dernière énergie l’organisation en 2012, en République Démocratique du Congo, d’une prochaine mascarade électorale sous l’égide de  l’imposteur et occupant rwandais « Joseph Kabila» et ses complices. Estimant en âmes et conscience que les élections ne constituent pas une panacée pour l’instauration de la démocratie, mais que seule l’implantation préalable des valeurs fondamentales peut conduire à l’organisation des élections réellement démocratiques, l’Alliance des Patriotes pour la Refondation du Congo (APARECO) lance ici un appel solennel au peuple congolais tout entier à ne plus tomber dans le piège de 2006 en allant plébisciter l’invasion et l’occupation de la RDC. Nous l’invitons donc à rejoindre sans tarder les rangs de la résistance congolaise pour bouter dehors les ennemis qui ont envahi et infiltré notre pays dans le but de le balkaniser. Et pour cela, nous devons chasser de notre pays « Joseph Kabila» qui constitue à n’en point douter, l’incarnation même de la menace qui pèse sur la terre de nos ancêtres, la République Démocratique du Congo.
 
 
Fait, à Paris le 9 juin 2011
 
Pour l’APARECO
 
Honoré NGBANDA NZAMBO KO ATUMBA
Président National
 
 
Liste des documents et personnalités de références pour les faits dénoncés
 
  • Les copies des contrats léonins signés avec les multinationales.
  • Le rapport de la commission sénatoriale belge sur le pillage des ressources naturelles de la RDC.et différents rapports ou résolutions de l’Union européenne
  • Plusieurs rapports de l’ONU et de différents ONG (Amnesty international, Human Rights Watch, Global Witness, Refugees International, International Crisis Group etc….)
  • Le rapport de la commission spéciale de l’Assemblée Nationale congolaise, mieux connu sous le nom de « la Commission Lutundula ».
  • Le rapport final du groupe d’experts de la commission d’enquête de l’ONU sur les pillages et l’exploitation illégale de ressources naturelles de la RDC.
  • Le Nouveau Code Minier congolais.
  • Honoré Ngbanda Nzambo, « Crimes organisés en Afrique centrale. Révélations sur les réseaux rwandais et occidentaux » éditions Duboiris 2004.
  •  Médias,  journaux et magazines spécialisés. tels que : Jeune Afrique Magazine, « The Washington Post » daté du 9 juillet 1997 , Le journal « Le Soir », AFP,
  • Cynthia Mc KinneyKeith Harmon Snow et David Barouski (Zmag, 5.03.2006), Pierre Péan (Carnages) (éd. Fayard), …
  • Etc…
Nombreux témoignages écrits ou vidéos venants de plusieurs sources vivantes :
§  Les officiers et certains éléments Kadogos qui ont démarré la guerre en 1996, et qui ont ainsi pu côtoyer Joseph Kabila à ses débuts.
§  Les officiers rwandais de l’APR en exil dont certains ont connu Joseph Kabila lors de sa formation en 1995 dans les centres militaires rwandais.
§  Les officiers de Forces Armées Zaïroises qui ont été témoins oculaires de certains crimes et dont certains étaient même sous le commandement des victimes.
§  Les membres des familles des victimes dont certains ont réuni des preuves accablantes et ont entrepris des actions en justice qui sont restés évidemment sans suite.
§  Les rapports secrets des services spéciaux civils et militaires de la République Démocratique du Congo.
§  Les rapports confidentiels de certains prisonniers et condamnés à mort dont le procès de l’assassinat de Laurent désiré Kabila (Une dizaine parmi eux ont réussi à s’enfuir et se trouve actuellement en dehors des frontières nationales).
§  Etc…
 


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